Mon épicerie Fine consacre un article aux thés français

Les Plantations d’Acapella est citée dans la presse spécialisée : Mon épicerie Fine en Octobre 2023

La presse spécialisée pour les professionnels des métiers de l’épicerie, parle du phénomène débutant de la production de thé en France en Métropole. Le magazine on Epicerie Fine publie un article sur le thé Français où Les Plantations d’Acapella sont citées.

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Mon Epicerie Fine 10/2023

Cuisine et Vins de France 4 pages sur le thé Français

Les Plantations d’Acapella, produit du thé dans le Roussillon et Cuisine et Vins de France en parle

Dans son article de 4 pages sur les thés Français, le journaliste Gilles Brochard, a fait goûter deux de nos thés noirs à une experte en la matière : Lydia Gautier. Autrice de livre sur la dégustation du thé, elle a sa propre marque de thés. Elle livre ses notes de dégustation dans le magazine Cuisine et Vins de France de mai 2024.

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Cuisine et Vins de France Mai 2024

Les plantations d’Acapella, pour du thé en circuits courts

Les Plantations d’Acapella, jeune entreprise innovante, vient d’achever la première phase de plantation de thé dans le Roussillon. L’objectif : maîtriser la production de la plante à la tasse.

La société Les Plantations d’Acapella, jeune entreprise fondée au début de l’année, dont le siège est basé près de Toulouse, souhaite maîtriser la culture du thé en France, pour proposer dans les boutiques Acapella des produits exceptionnels et toujours plus respectueux de l’environnement, en maîtrisant la production de la plante à la tasse.

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Laure Basterreix, Matthieu Soldano, publié le 6 Oct 21 à 7:56, mis à jour le 6 Oct à 8:47

23e Prix Alfred-Sauvy : deux entreprises accompagnées par Sud Roussillon distinguées

Gestion Sports et Les Plantations d’Acapella, deux entreprises accompagnées par la Communauté de communes Sud Roussillon, ont été distinguées par le jury du 23e prix Alfred-Sauvy, un prix économique qui valorise l’innovation en pays Catalan.

Coup de cœur et mention spéciale du jury : s’ils ne sont pas le lauréat 2021, Gestion Sports et Les Plantations d’Acapella n’ont pas laissé le jury du Prix Alfred-Sauvy indifférent. Terminant à la troisième et quatrième place derrière le grand gagnant Llum, les deux start-ups ont reçu leur prix lors d’une cérémonie mardi dernier à la Cité digitale du Soler.

Parmi les onze finalistes avait aussi été nominée Vitale Source France, un autre « pépin » de Sud Roussillon. Les trois entreprises du territoire sélectionnées sont accompagnées à l’échelon local par la Communauté de communes et les membres du comité de pilotage de la Pépinière d’entreprises.

Gestion Sports, coup de cœur du jury

Hébergés à la Pépinière d’entreprises Sud Roussillon depuis quelques mois, Loïc Tap et ses équipes ont développé un logiciel professionnel de gestion de clubs et de structures sportives. Objectif ? Moderniser et optimiser l’activité des dirigeants de clubs avec un outil facilement utilisable, aux multiples fonctionnalités. A ce jour, plus de 47 000 utilisateurs ont opté pour cette plateforme, en plein essor. Également organisatrice d’un tournoi interclubs de padel, le Trophée GS prévu au printemps, Gestion Sports a plein de nouvelles idées et projets à venir. Coup de cœur du jury : gain de 1 000 € et un accompagnement par l’entreprise G16.

Les Plantations d’Acapella, mention spéciale du jury

Faire pousser du thé et du café 100 % catalan – et surtout 100 % France métropolitaine : c’est l’expérimentation que mènent actuellement Les Plantations d’Acapella à Villerase, à Saint-Cyprien. Accompagnée depuis quelques mois pour son implantation par le service Développement économique de la Communauté de communes, la petite entreprise s’est lancée dans une production bio et innovante, avec notamment 12 000 plants de thé dont la première récolte pourrait se faire ce printemps. Une affaire à suivre. Mention spéciale du jury : un accompagnement par la société G16.

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Sebastià Vilanou i Poncet, publié le 21 Mars 22

Produire du thé en Roussillon : l’expérimentation infuse dans les Pyrénées-Orientales !

Chef d’orchestre de cet essai inédit la start-up Acapella. À la baguette, le Catalan Jean-Marc Sanchez, ingénieur agronome, dont la pandémie a perturbé ses voyages professionnels aux quatre coins du monde. Il décide de bousculer la planète, en se lançant dans la culture de thé et café de proximité. Une serre de 4 hectares située entre Alenya et Saint-Cyprien, a permis de commencer l’aventure l’été dernier avec 12 000 plants sélectionnés qu’il surveille comme le lait sur le feu. La première récolte de thé « made in Roussillon » est annoncée pour le printemps prochain, si tout va bien !

Une perturbation mondiale, peut aussi déclencher de bonnes idées. Et comme on n’est jamais mieux servi que par soi-même, Jean-Marc Sanchez, expert en thé et café, choisi d’innover et de se lancer dans ses cultures.

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Véronique Parayre, publié le 4 Janv 22 à 14:49, mis à jour à 14:52

Agriculture. Innovation : Ils font pousser du thé près de Perpignan

Basée à Toulouse, la start-up innovante Acapella s’est lancée dans la culture de thé et de café en circuits courts. Une expérimentation a lieu dans les Pyrénées-Orientales.

Le pays catalan est une terre de nombreux savoir-faire. Agriculteurs, viticulteurs, apiculteurs et autres maraîchers cultivent depuis des décennies des produits emblématiques des Pyrénées-Orientales, qu’il s’agisse de vins, de miel et de multiples fruits et légumes telles que les cerises de Céret ou encore les pêches d’Ille-sur-Têt.

Mais une start-up basée à Toulouse (Haute-Garonne) pourrait bientôt tout changer et révolutionner le champ des possibles. Avec un Catalan à sa tête, l’entreprise Acapella fait pousser du thé et du café près de Perpignan. Une expérimentation à grande échelle qui n’a aucun autre équivalent en France.

Maîtriser le produit de A à Z

Pour comprendre, il faut se rendre entre Saint-Cyprien et Alenya, c’est là que Rémi Guyonnet, chef des cultures de cette jeune start-up innovante, surveille au quotidien les 12 000 plants de thé et de café cultivés dans le sol limono-sableux des P.-O., et en passe d’être récoltés.

Spécialisée dans l’assemblage de thés et la torréfaction de café, Acapella et son responsable de projet Jean-Marc Sanchez ont, un jour, eu une idée, tenter de mettre en place des circuits courts pour ces produits historiquement cultivés en Amérique centrale et du Sud, en Afrique ou encore en Asie, comme l’explique ce dernier :

Mon grand-père était viticulteur. J’ai toujours connu la maîtrise du vin de A à Z, du raisin au produit fini. Avec le thé et le café, j’ai l’impression de ne pas maîtriser une bonne partie de la qualité du produit finalement. Puis j’ai beaucoup voyagé avant le Covid-19, en Asie, en Amérique centrale et du sud. J’ai vu des théiers, des caféiers, tout un tas de cultures, j’ai même acheté un hectare de cacao au Costa Rica… Puis est arrivée la pandémie, et je me suis demandé comment pouvait-on faire pour maîtriser sa culture et être un peu plus acteur dans la création de ces produits ?

Jean-Marc Sanchez
Responsable du projet – Acapella

« On fait beaucoup d’expérimentations »

Ingénieur agronome et spécialisé dans les micro-organismes, Jean-Marc Sanchez, suivi par son équipe, se lancent alors dans une expérimentation à grande échelle. Ils choisissent les Pyrénées-Orientales pour planter leurs théiers et caféiers. Mais au fond, est-il possible que du thé et du café puissent pousser en France et dans une région comme celle-ci ?

Protégés par des serres photovoltaïques, afin de ne pas subir les caprices du vent et les fortes chaleurs, les 12 000 plants semblent, pour l’heure, très bien se comporter. Même si Jean-Marc Sanchez préfère rester prudent. « On est une jeune entreprise innovante. Nous faisons de la recherche et développement et nous apprenions chaque jour. Pour l’instant, nous ne sommes pas sûrs d’arriver à notre objectif », précise-t-il.

Mais pour y parvenir, lui et Rémi Guyonnet, présent sur place, ont lancé un large panel de tests. « On a fait plusieurs hypothèses, on a essayé de comprendre ces plantes-là et de les adapter au mieux au terroir des Pyrénées-Orientales. On a planté plein de variétés différentes et on va regarder, au niveau génétique, les variétés qui s’adaptent le mieux au pays catalan », explique Jean-Marc Sanchez, avant de poursuivre :

« On teste aussi plusieurs densités de plantation. On plante à 30cm, 40cm, 80cm, etc… pour voir, là-encore, comment la plante se comporte. On fait beaucoup d’expérimentations, avec des amendements organiques aussi. On a mis les moyens pour que cela marche ».

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Une récolte au printemps 2022

Et le résultat est enfin très proche : la récolte des premiers thés et graines de cafés, issue d’une agriculture biologique fallait-il encore le préciser, devrait intervenir au printemps 2022.

Si l’importation de ces cultures a déjà été essayée en France, en Bretagne mais aussi du côté de Saint-Gaudens (Haute-Garonne), jamais un processus d’une aussi grande ampleur et avec de tels moyens n’avait vu le jour dans l’Hexagone.

« On est sur la bonne voie, et on y croit. On espère y arriver en qualité, mais aussi en quantité pour pouvoir en vivre mais aussi pour proposer un produit accessible », conclut Jean-Marc Sanchez. D’ici quelques mois, du thé et du café 100% catalans pourraient ainsi voir le jour.

Source
Emilien Vicens, publié le 5 Nov 21 à 18:21, mis à jour le 6 Nov à 8:39

Une ferme théière pousse en terre catalane

Une ferme théière pousse en terre catalane

Le Roussillon produit des espadrilles, des rousquilles, des vins cuits, de grandes appellations… Et bientôt du thé et du café à Alénya (Pyrénées-Orientales).

Acapella, start-up créée et installée à Cornebarrieu près de Toulouse (Haute-Garonne) finalise actuellement la plantation expérimentale de thé et de café à Alénya, près de Perpignan (Pyrénées-Orientales). « Nous avons lancé cette start-up spécialisée dans la torréfaction de café et l’assemblage de thés, raconte Jean-Marc Sanchez, ingénieur agronome, spécialiste des micro-organismes. Nous avons des fournisseurs dans le monde entier, en Amérique Latine, en Afrique, en Asie. Mais nous souhaitons contrôler totalement nos produits. Quand on reçoit notamment le café, il nous manque l’essentiel de son histoire. On ne l’a pas vu pousser. On ne connaît pas son terroir ni les pratiques culturales qui lui ont été appliquées. »

La première récolte sera à déguster à partir de 2022

Alors, Acapella a repiqué plus de 12 000 plans de thé dans la terre limono-sableuse d’Alénya, abrités en serres photovoltaïques pour les protéger du vent et des trop fortes chaleurs en été. Les plants de café sont en cours d’installation. La parcelle couverte de plus de 2 ha est équipée de goutte-à-goutte et la terre a été enrichie avec des intrants organiques.

« Dès ce printemps et la première récolte nous disposerons d’un thé français et totalement bio et nous allons multiplier les expériences culturales car cette manière de pratiquer est totalement inédite », complète Rémi Guyonnet, chef de culture et responsable R&D de cette jeune start-up innovante. « La diversité des plants va nous permettre de disposer pour l’avenir d’un riche cheptel génétique », poursuit Jean-Marc Sanchez, formé à l’observation des végétaux dans la vigne familiale au domaine « Le secret des Marchands » à Maury dans la vallée de l’Agly. Les premiers thés d’Alénya seront à déguster à partir de 2022.

Source
Christian Goutorbe, publié le 3 Nov 21 à 7:25

Pyrénées-Orientales : du café et du thé poussent à Saint-Cyprien

A Saint-Cyprien, depuis quelques mois, la serre photovoltaïque de la start-up Acapella abrite des plants de thé et de café. Une expérimentation pour la recherche, qui devrait aboutir à la sélection de variétés biologiques made in France.

Sous les imposantes serres de Rémi Guyonnet, ne poussent ni légumes, ni rosiers. Bien que cela ressemble à une plantation de camélias, ce sont en fait des plants de thé et de café qui grandissent sous la serre de la start-up Acapella.

Ce n’est pas pour leurs fleurs ou leurs étamines que Rémi, chef de la culture, veille avec fierté sur ces rangées d’arbustes : « Ce sont des camellias sinensis, plus communément appelés… du thé« .

Thé ou café ?

Les clients n’auront à priori pas à choisir. Des milliers de plants de cafés de toutes origines poussent aussi à Saint-Cyprien. La serre photovoltaïque se substitue alors aux terres asiatiques ou africaines où sont cultivés habituellement le café et le thé.

Une première expérimentation in vivo à laquelle se consacre Rémi Guyonnet, bien décidé à dépasser les obstacles pour trouver la ou les variétés capables de s’épanouir localement : « Le thé ou le café sont des cultures d’ombrage, donc finalement les conditions climatiques de la France ne sont pas vraiment ce qu’il leur faut. Ici, sous serre, on essaye de contrôler un maximum de paramètres. Il y a tout à découvrir que ce soit au niveau de l’irrigation, de la fertilisation... ».

Derrière cette idée insolite, on retrouve Jean-Marc Sanchez, fils de viticulteur catalan, ingénieur agronome, propriétaire de deux coffee shops à Toulouse, passé maître dans l’art de la caféologie.

Devant l’impossibilité d’aller contrôler les plantations de ses fournisseurs durant la pandémie, il s’est dit qu’il y avait peut-être une piste à creuser.

Le fait de pouvoir planter, c’est un pari fou et on s’est dit pourquoi pas. On appelle des gens que l’on connait dans le domaine agricole, des instituts techniques… Le pari est lancé et on attend résultat !

Jean-Marc Sanchez, ingénieur agronome à l’origine du projet

Pour déguster la première tasse de thé 100% catalan, il faudra attendre mars 2022.

L’initiative est en lice pour le prix Alfred Sauvy. Ce prix est décerné dans les Pyrénées-Orientales à un projet d’activité nouvelle et originale. La jeune entreprise lauréate se voit alors aidée financièrement par le département. Le prix sera décerné en janvier prochain parmi les 15 concurrents.

Source
Bérénice Del Tatto, publié le 10 Nov 21 à 7:27